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I will never stop this prayer leaving my lips

Nom : U̸͗͜n̷̢͋Ḵ̸̂n̶̰͆O̶͖̅ẅ̵͕Ṇ̸̒
Prénom : Sylus
Date de naissance: ????
Occupation : PDG d'un Casino
Origines : Grecque/Coréen
Pronoms : He/him
Danger: U̸͗͜n̷̢͋Ḵ̸̂n̶̰͆O̶͖̅ẅ̵͕Ṇ̸̒

Que dire ? Dans ce monde, il y a deux types de personnes : ceux qui se battent et ceux qui abandonnent. Dans les deux cas, l’un des deux gagnes, le courage de l’un a su faire ces marques.Sylus est un jeune homme né en Grèce, d’une famille monoparentale : Une mère. Pas de père, né d’une liaison interdite et surtout peu recommandables, mais quand l’amour frappe nulle ne peux aller à son encontre. Sauf sous certaines circonstances…Le père de Sylus est parti du jour au lendemain par la famille de sa mère, une grosse somme d’argent suffisamment grosse pour que celui-ci disparaisse. Puis sa mère, foutue à la porte, âgée alors de 18 ans avec un nourrisson d’à peine quelques mois. Tout cela parcequ’elle leu avait tenu tête concernant cette grossesse, mis à la porte sans rien la jeune femme du trouver un job : pas de diplôme ne pouvant pas poursuivre ses études, c’est dans une maison close qu’elle trouva son bonheur.
Garder de femme en femme, puis de dealer en dealer : Sylus à découvert bien assez tôt les méfaits de substances illicites sur le corps de mère puis les violences liées au manque et au sexe. En bref, âgé alors d’une dizaine d’année, en école primaire Sylus dû enchaîner les fois où sa mère l’oubliait pour venir le récupérer à l’école, toujours là à devoir attendre jusqu’à tard le soir au point même ou c’était devenu une habitude. Le jeunot de l’époque avait trop vite grandit, comprenant alors la cause des absences de sa mère : La drogue et le sexe, si on oubliait là par d’hémoglobine et bleu qu’il voyait sur ce corps.
Avec le temps, il s’y était fait, apprendre à cacher sa vie misérable, au collège puis au lycée, ce faisant le plus silencieux possible sans lien ni attache afin d’éviter d’exposer ce tabou qui le rongeait. Dix-huit ans est un âge de liberté, mais pas pour lui, piéger dans une spirale sans fin d’aller et retour des gars qui viennent pour sa vieille, maintenant, il était leur cible : profiter de lui dans bien des situations. Sauf jusqu’à ce fameux jour : il en avait eu marre, normal après tant de temps à devoir fermer sa gueule.Cette soirée fut la dernière où il vit sa mère ainsi que le ballais dansant des aller retour des gars sur lui, tout comme la gente féminine, tout avait si bien commencer… Assis comme à son habitude, casque branché et vissé sur sa tête pour se couper du monde, il révisait des cours pour sa première année en université, il ne faisait donc pas attention à ce qui l’entourait après tout : son corps parlait de lui-même. Les bleu et autres petites blessures le faisait courber son dos et rentré ses épaules musclées par le sport qu’il pratiquait.
Tout avait si bien débuter, elle était attablé non loin de lui, avec des « amies » à prendre la fameuse dose, toutes en cercles et lui dans le fond de la pièce, il les regardait sans vraiment s’attarder sur elles. Il se souvient du bruit de détonation qui avait surgis de nulle part, le faisant enlever ce casque avant de voir un corps tomber. Puis un autre, puis une arme tournée vers lui : allait-il connaître la libération ? Était-ce son jour finalement ? Le reste restait d’un flou sans nom, probablement par l’impact de la balle sur son abdomen, le faisant rejoindre le sol aux côtés de sa douce mère qui avait tenté dans un dernier élan de lucidité de sauver son bébé, son bijou son amour son…
Le reste fut que plus sombre pour lui, un réveil à l’hôpital puis l’annonce du décès de mère ainsi que tout le reste de la maison close : il en était le seul survivant. La police lui avait raconté que tout, c’était fait vite sans que personne ne puisse y faire quoi que ce soit, ce n’est qu’à l’arrivée qu’ils purent le trouver gisant dans une marée d’hémoglobine en compagnie de sa mère qui s’était placée sur lui en cachant son visage dans son cou. Sylus était le miracle de ce massacre de masse et c’est ainsi qu’il du partir de son pays d’origine pour Sin City, poursuivres ses études mais en droit pour finalement sortir major de promotion et devenir gérant d'un casino.Sylus était devenu un gérant et propriétaire d'un casino hors pair, PDG le plus méritant qui est d’un naturel « je m’en foutiste » calme et calculateur. Au travail, ce jeune homme âgé de 25 ans était leur diamant brut et surtout bien mystérieux : nulle ne connaît son histoire… Du moins la vraie, nullement celle raconter par le rapport de police qui avait fait une remontée dit de : mafia, règlement de compte…
Non, la personne qui avait orchestré cela n’était pas la mafia, même si ce fut celle-ci qui c’était occuper de cela… Non, il fallait mieux se méfier de ce regard si impénétrable… Qui a dit que c’était la faute de l’autre ?

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Dossier classéNom de code: projet P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠
Identité : P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠

Comme convenus de nos échanges,Je vous demanderais de faire le dos rond et d’accepter les charges que la police risque de vous accabler, les connaissant ils vont fermer leur grande bouche et classer l’histoire sans suite.Après tout, vous êtes suffisamment puissant pour faire ce que bon vous semble, il me semble aussi monsieur que vous me devez encore un jeu de carte. Le joker reste donc ma carte bonus.Tachez de tout faire taire, je me fiche éperdument comment mais je veux que vous fassiez ce qu’il faut pour tout faire disparaitre de ce taudis.Veiller à bien évidemment faire à votre habitude, donc même me mettre en joue cela ne me dérange pas du tout. Après tout ils P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠ P̶͇͖̋̽͘ Bien à vous,Cordialement,
P̶͇͖̫̋̽͘r̷̢̺͍͂͂i̵̜̝͛v̵͓̫̺͆̂̒é̷͖̀͝͠